Pardonnez-moi de commencer par ce que Musset avait pour clôturer son livre. Sonnet au lecteur Jusqu'à présent, lecteur, suivant l'antique usage,
Je te disais bonjour à la première page. Mon livre, cette fois, se ferme moins gaiement ; En vérité, ce siècle est un mauvais moment. Tout s'en va, les plaisirs et les mœurs d'un autre âge, Les rois, les dieux vaincus, le hasard triomphant, Rosafinde et Suzon qui me trouvent trop sage, Lamartine vieilli qui me traite en enfant. La politique, hélas ! Voilà notre misère. Mes meilleurs ennemis me conseillent d'en faire. Être rouge ce soir, blanc demain, ma foi, non. Je veux, quand on m'a lu, qu'on puisse me relire. Si deux noms, par hasard, s'embrouillent sur ma lyre, Ce ne sera jamais que Ninette ou Ninon
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AVIS!
Voici des petites histoires, des contes et une histoire plus longue qui est pour moi un succès en ce sens que je n’arrivais pas à écrire autre chose que des courtes histoires. ArchivesCatégories
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